28 mai, 2007

Delphine en spectacle !

Samedi soir, vers 21 h, débutait le spectacle de danse de l'Ecole de Danse de Bédarrides.
Pour les parents, ce spectacle débutera bien plus tôt, dès 16h pour les répétitions, puis ensuite, rendez-vous à la salle municipale pour le maquillage et l'habillage. Nous avons passé une superbe soirée grâce au spectacle de qualité qui nous a été présenté.
Au départ, le spectacle était prévu pour se dérouler dehors mais le temps s'est mis à l'orage et en fin de compte, c'est dans la salle que ça s'est passé. Je dois avouer qu'au niveau des photos, je n'ai pas été performant, de plus, la salle avec 200 chaises était trop petite, surtout qu'il y avait près de 400 spectateurs !!
Voici donc le spectacle avec Delphine et ses deux danses puis ensuite les plus belles des photos réussies.


1er passage de Delphine, danse classique.







Un porté.



2ème passage en moderne jazz.



Delphine au sol.







Une chanteuse est venue faire une belle prestation.



Une jeune fille de l'Ecole de danse nous a fait part elle aussi de son talent de chanteuse, c'était très beau.



En vrac, le reste de la soirée :



hip hop



Les petites.



Les grandes : très belle prestation.



La prof (debout) dans un duo époustouflant de beauté.



Le final.

Nous avons passé une excellente soirée.

25 mai, 2007

Visite en Drôme Provençale

Cette semaine nous sommes partis nous promener en Drôme Provençale ; de mon point de vue, la Drôme Provençale est ce qui a de plus beau à proximité de la maison. Sur une idée de ma mère, nous décidâmes de nous rendre à l'Abbaye Notre-Dame d'Aiguebelle.



Voici l'entrée de l'Eglise Abbatiale.



Les appartements des moines, si on peut dire. Evidemment, on ne peut pas y entrer, ce que je trouve complètement normal.



Ici l'intérieur de l'Eglise Abbatiale. Photo dont je ne suis pas mécontent, car prise sans flasche pour ne pas déranger les deux seules personnes qui étaient manifestement en prière, et qui ressort ma foi pas très mal.



Ici la barrière, les visiteurs n'ont pas le droit d'atteindre l'Autel, exclusivité des moines.



Pour finir, cette idée de visite ne nous a pas convaincue, rien n'est visitable à part l'Eglise, qui ne procure rien de plus que les autres Eglises. L'Abbaye en elle-même est interdite aux visiteurs, seule la boutique est là, pratiquant à mon goût des prix prohibitifs. Une pancarte à l'intérieur m'a fait sourire : "Ne pas toucher, demandez au moine caissier".
Si nous n'avions pas eu Angélique avec nous, il est vrai que pas mal de sentiers sont là pour effectuer une randonnée qui s'avère plutôt charmante à travers une mini-forêt.
Seule plaisir pour moi, la vision de ces deux Citroën sur le parking de l'Abbaye.



Abbaye Notre-Dame d'Aiguebelle : reproduction d'une partie du site web : www.abbaye-aiguebelle.com
Naissance de l'Ordre cistercien :

L'histoire de la vie monastique débute au début du IV° siècle en Égypte avec S. Antoine et les Pères du Désert qui se retirent dans la solitude pour mener une vie de prière et de travail toute vouée à Dieu. En Occident, saint Benoît (480-547) écrit une Règle pour les moines qui vivent en communauté, en leur proposant de chercher Dieu à travers l'obéissance, l'humilité, la charité fraternelle et un mode de vie équilibré alliant prière, travail et lecture méditée. Cette Règle va assez rapidement être adoptée par la grande majorité des monastères d'Occident : les monastères bénédictins
Bernard de Clairvaux
Bernard de Clairvaux

Le 21 mars 1098

Des moines bénédictins de l'abbaye de Molesme fondent l'abbaye de Cîteaux sous la direction des saints Robert, Albéric et Étienne. Ils veulent revenir à la pureté de la Règle de saint Benoît et mettent en valeur la vie communautaire, la simplicité, le travail manuel, la pauvreté et la solitude. À partir de 1112, la communauté de Cîteaux fondent d'autres monastères et, sous l'impulsion, entre autres, de saint Bernard de Clairvaux, l'Ordre cistercien se développe rapidement dans toute l'Europe.
La famille cistercienne est aujourd'hui répartie en plusieurs groupes. L'un d'eux est l'Ordre Cistercien de la Stricte Observance (OCSO) dont fait partie l'abbaye d'Aiguebelle. Cet Ordre regroupe165 monastères de moines et de moniales à travers le monde, dont 30 en France.
Abbé de Rancé
Abbé de Rancé
(réformateur de la Trappe)
L'abbaye d'Aiguebelle :

Aiguebelle a été fondée en 1137, aux confins du Dauphiné et de la Provence, par les moines de Morimond, quatrième fille de Cîteaux fondée en 1115 en Champagne. Le monastère est bâti dans un vallon isolé, comme le voulait la tradition cistercienne, au confluent de trois ruisseaux, d'où le nom de "belles eaux", Aiguebelle. Au XII° siècle, le monastère bénéficie des donations des seigneurs voisins et accroît considérablement son domaine : il possède des terres jusqu'au pied du Mont Gerbier-de-Jonc. À partir du XIV° siècle, les épreuves vont se multiplier : guerre de Cent Ans, peste noire, chute des vocations, surtout des frères convers qui entretenaient les granges et les terres. Les possessions sont pour la plupart données en bail. Après 1515, les abbés ne sont plus élus par les moines mais nommés par le roi : ce sont les abbés commendataires, extérieurs au monastère et qui ne se préoccupent donc pas toujours des nécessités de leurs moines ni de la ferveur de leur communauté. Lors de la dispersion des moines en 1791, ils ne sont plus que trois. Le monastère est alors pillé puis vendu comme bien national. Son éloignement par rapport aux voies de communication va le sauver de la démolition.

L'absence des moines durera moins de 25 ans : en 1815, un groupe de cisterciens vient faire revivre le monastère. Ils viennent de Suisse et sont issus d'un groupe de moines français de l’abbaye de La Trappe qui, sous la conduite du Père Augustin de Lestranges, ont parcouru toute l'Europe pourchassés par les armées révolutionnaires et permettent le renouveau monastique et cistercien en France après la chute de Napoléon.
Notre Dame de Tibhirine
La communauté d'Aiguebelle va se développer rapidement : en 1850, elle compte 233 moines, et fonder de nombreux autres monastères dont la plupart sont toujours vivants : Staouéli qui deviendra N.D. de l'Atlas en Algérie (d'où sont nés deux nouvelles communautés : N.D. de Tibhirine en Algérie et N.D. de l'Atlas au Maroc), Les Neiges en Ardèche, le Désert près de Toulouse, les Dombes au nord-est de Lyon, Acey dans le Jura puis Koutaba au Cameroun. Elle assure aussi la paternité d'une communauté de moniales : N.D. de Bon Secours (Blauvac) dans le Vaucluse.

19 mai, 2007

Le Pays de Sault

Vendredi, nous décidâmes de partir pique-niquer dans un endroit sympa avec mes parents et les enfants de ma soeur Mary. Sur les conseils d'une amie de mes parents, nous partîmes non loin du pied du Mont Ventoux, dans le Pays de Sault et plus exactement au plan d'eau de Monieux à environ 50 Km de la maison. Pour arriver là, nous traversons Carpentras, Mazan et Ville/Auzon.
Arrivés sur place, nous nous stationnons à l'ombre de petits arbres aux abords du plan d'eau.


Nous sommes tout de suite accueillis par Monsieur et Madame Canard, sûrement habitués par la présence humaine car pas apeurés du tout.



Monsieur et Madame Canard, voyant que nous étions des gens sympathiques, décident de nous présenter leur petits canetons qui n'hésitent pas non plus à s'approcher de la berge. Il est vrai que les enfants venaient de jeter quelques morceaux de pain.



Et ils ont continué longtemps, on a même cru que nous allions manger que la garniture des sandwiches !!



Angélique, à notre grand étonnement a été super agréable, tant dans la voiture que toute la journée... Etonnant, car avant de partir, elle n'avait pas voulu dormir et avec Ludivine on s'était dit que ça n'allait pas être la joie, et puis, tout compte fait, elle a été très sage. Ici, elle ne voulait pas qu'on la tienne et voulait marcher toute seule, malgrès un sol peu propice ; elle s'est pris quelques gamelles !



Sur cette photo, elle essaye de jeter un brin d'herbe en l'air pour recopier les grands qui eux en étaient déjà à jeter cailloux et branchages de toutes grosseurs dans tous les sens !!! Ils sont arrivés à faire élever la voix à tonton Christophe pour calmer tout cela...



Je n'ai pas pu m'empêcher de prendre en photo ma jolie Delphine au milieu des fleurs... J'ai de la chance qu'elle veuille bien se prêter au jeu et cela fait de sublimes photographies ; je pense que je vais faire développer et agrandir celle-ci.



Au loin le jolie village de Monieux (84).



Dans le milieu de l'après-midi, nous vîmes surgir de la petite forêt de roseaux, Monsieur et Madame Poule d'eau et leurs petits. Contrairement aux canards, cette espèce est très craintive et je pense que c'est la recherche de la nourriture qui les a poussé à sortir mais malgrès cela, j'ai dû utiliser l'objectif 70-300 en zoom complet pour faire cette photo.



Je me suis donc éloigné de la berge et c'est depuis la voiture que j'ai pu photographier Madame ou Monsieur Poule d'eau s'aventurer hors de l'eau pour essayer de chiper les restes de pain que nous avions laissé.



Pendant que les enfants, les grands, jouaient sur l'ère de jeu avec ma mère et que le paternel s'essayait à une petite sieste, je suis parti avec Ludivine et Angélique faire une petite balade et j'en ai profité pour faire quelques photos dont celle-ci que je trouve magnifique.



Nous étions de l'autre côté du plan d'eau en train d'admirer une autre famille de canards lorsque je suis attiré par un bruit étrange. C'était un canard qui bondissait hors de l'eau en essayant d'arracher une feuille de saule pleureur !!! Avec une chance inouïe, je réussis cette photo.



Puis notre petite Angélique nous dit : "boi a cou, boi a cou, boi a cou"... Oui, elle nous le répète trois fois, on ne sait jamais, des fois qu'on n'aurait pas compris !!

Nous décollâmes du plan d'eau vers les 16h30, un peu tôt, mais c'était pour passer par les Gorges de La Nesque au retour. Malheureusement, et je le regrette fortement, je ne peux pas vous faire voir ces manifiques paysages que forment les Gorges de La Nesque car je vous le donne en mille, et bien oui, je le dis, je suis tombé en panne de batterie !!! pffff, je vous laisse cette adresse Web qui vous permettra de voir ce bel endroit : http://jmmag.club.fr/gorgesnesque.htm

14 mai, 2007

Ma danseuse

Delphine dans le jardin de mes parents en fin avril par une journée nuageuse.



Samedi, sur la demande de l'Ecole de Musique du village, la professeure de danse de l'Ecole de Danse de ce même village, le nôtre, avait préparé une petite représentation, et naturellement nous étions présents avec Angélique.... Mon 400D aussi ! Sandra (la prof de danse) a habillé et maquillé ses élèves et ma foi, la réussite était au rendez-vous.



La photo est un peu floue, veuillez m'en excuser. La représentation consistait à se mettre dans la peau d'une poupée automate sur une musique de style classique jouée en direct par les élèves de l'Ecole de Musique. Très jolie représentation. (photo prise sans flasche)



Le final se déroula comme une sorte de chenille faite par les enfants ; ils ont défilé autour des spectateurs puis ensuite se sont rassemblés en rond sur la scène et ont soufflé dans les appareils à faire des bulles.... (photo prise sans flashe)

Delphine sera également en spectacle le 26 mai, spectacle qui clôturera l'année de cours de danse, donc ne manquez pas les photos à venir de ce spectacle ici même, sur ce super blog !! lol

PS : cette fin de journée s'est terminée par un apéro chez des amis à Bédarrides, juste avant, malheureusement, la défaite de l'Olympique de Marseille en finale de la Coupe de France de football. Pffff.


11 mai, 2007

Mardi 8 mai en ballade

En ce mardi 8 mai, nous sommes allés nous promener à Chateauneuf-Du-Pape. Il faisait un peu de vent en cet après-midi mais le soleil était au rendez-vous. Après un café pris chez mes parents, nous décidâmes cette sortie. Seulement 5 Km séparent Bédarrides de Châteauneuf.


La grande tour, et l'entrée d'une salle en bas qui sert à des réceptions.




Voici le seul pan de mur encore debout. On aperçoit Ludivine près d'une fenêtre. J'appelle cet endroit la grande salle car il y en a une autre toute petite juste à côté. Mais j'ignore si c'était la plus grande lorsque le château était entier.






Angélique dans la grande salle.





Angélique ne veut plus qu'on l'aide ! Même lorsqu'il s'agit de monter des marches vraiment pas faites pour elle !!




Voici une vue prise du bout de cette grande salle où l'on peut voir la grande tour de l'intérieur.




Le Mont Ventoux (droite) et les Dentelles de Montmirail (gauche) vu du château. Le ciel était particulièrement dégagé grâce à plusieurs jours de "Mistral" ce qui a eu pour effet de dégager aussi la popution d'où cette photo assez clair.

La journée se termina par une ballade dans ce beau village.

CHATEAUNEUF DU PAPE :
Entre Avignon et Orange, Châteauneuf-Du-Pape s'étale au pied des vestiges de sa forteresse. Dominant la plaine du Comtat et ses 3000 hectares de vignes, ce village est pratiquement entièrement consacré au célèbre vin "Châteauneuf-Du-Pape" de la non moins célèbre appellation "Côtes du Rhône".
Au XIVème siècle, sur l'initiative de Jean XXII, les papes choisirent Châteauneuf pour y construire leur résidence d'été, ils décidèrent ensuite de planter une vigne sur les terres caillouteuses qui entouraient leur propriété. La production resta longtemps confidentielle mais la renommée du vignoble sera croissante dans les siècles suivants jusqu'à être servi à la cour de Louis XVI. Le vignoble sera au XVIII et XIXème siècle dynamisé essentiellement par l'aristocratie locale (De Beaucastel, Le Roy de Boiseaumarié). Pour garantir la qualité des vins, les vigneront de Châteauneuf-Du-Pape créent, en 1894, le premier "syndicat viticole" qui débouchera en 1923 sur le Syndicat des viticulteur de Châteauneuf-Du-Pape.
En 1929, la production reçut le titre d'appellation d'origine Châteauneuf-Du-Pape. Aujourd'hui il existe 55 domaines viticoles à Châteauneuf-Du-Pape.
Châteauneuf-Du-Pape est un village de petites rues sinueuses ponctuées de belles fontaines (dont la fontaine de Souspiron du XIVème), l'ancien four à pain et le moulin à huile.
Le Château fût édifié par Jean XXII de 1316 à 1333 ; de larges escaliers en pierres mènent jusqu'à la forteresse. Les Papes habitèrent cette demeure jusqu'en 1377, date du retour de la papauté à Rome. Brûlée au cours des guerres de religion puis gravement endommagée en 1944, il ne reste aujourd'hui de la forteresse qu'un pan de mur du logis, une haute tour et une salle basse. Depuis ces ruines, une large vue de 360° s'étend largement sur la vallée du Rhône et le Luberon.

Source : Wikipédia et le site de visite virtuelle du Vaucluse.

06 mai, 2007

Aujourd'hui...

ENSEMBLE, TOUT DEVIENT POSSIBLE !